Bonjour à tous et bienvenue sur mon site pour les nouveaux visiteurs ! 🙏

La première photo qui sert d’ouverture est une Piko Ref 52871. C’est une machine diesel SU46, époque 4, des chemins de fer polonais (PKP) . C’est une de mes machines préférées car elle me paraît robuste et sa forme  est particulièrement étrange ! Les photos trouvées sur le net m’ont vraiment inspiré et m’ont aidé à la création de sa patine. 

On poursuit notre chemin des patines en intégrant à nouveau la 70000 REE d’Alain que vous avez découverte la semaine dernière.

Elle a certain succès auprès de son propriétaire et pour le remercier à nouveau, je vous la présente sur un autre module plus approprié à sa longueur .

Voyageons dans le temps maintenant ! Après la seconde guerre mondiale, le 3ieme Reich vaincu redonna à la Pologne les terres orientales conquises . Ainsi de nombreuses locomotives de la DR restées sur ces lieux furent attribuées à la Pologne. C’est ainsi que la classe 24 est devenue l’Oi2 du Pkp. Thomas m’a demandé de faire de ce modèle une locomotive très utilisée car à cette époque il y avait un manque de pièces et l’entretien était plutôt précaire (photo ci-dessous ).

Continuons notre visite en Allemagne par la « Reine de la montagne ». Cette locomotive vapeur (Roco Ref 710972) était indispensable sur les lignes à forte pente. Sa puissance exceptionnelle permettait de franchir ces obstacles sans problème. Cette machine était indispensable pour les chemins de fer de la RDA jusqu’en 1981! 

On termine cette revue d’effectifs par la BR 93 de chez Piko (Ref 50650) . Cette locomotive a été commandée pour les chemins de fer Prussiens sous la référence de T14 . Elle était destinée pour le transport local de passagers en gare de Berlin . Malheureusement, elle n’était pas efficace pour le transport de voitures voyageurs trop lourdes pour ses aptitudes. Ce modèle fut remplacé par un modèle plus adapté à ce genre de transport (T14.1, et plus tard 93.5xx) . Ensuite, elle fut déclassée en véhicule de manœuvres. J’ai donc choisi l’époque où elle termina sa carrière dans les triages .

Je remercie Thomas pour l’historique de ses machines qu’il m’a fournis et ainsi,  Alain pour sa dévotion.